Notre association

Notre histoire

Un collectif d'une dizaine d'agriculteurs des Pyrénées-Orientales est à l'initiative de l'association Sol vivant Méditerranée qui s'est constitué officiellement en avril 2023. Issus de filières diverses et plus ou moins avancés en matière de pratiques agroécologiques, les membres fondateurs se sont retrouvés autour d’un projet commun et fédérateur tourné vers une agriculture durable, productive et rentable, respectueuse des Hommes, des ressources naturelles, de la biodiversité et porteuse de valeurs de partage et d’entraide. 

Convaincu par l’agroécologie et conscient de la nécessité d’engager des démarches d’atténuation et d’adaptation face au changement climatique, les membres de SVM se sont donnés comme objectif prioritaire d’expérimenter des pratiques agroécologiques offrant des solutions concrètes face aux événements extrêmes, en particulier la sécheresse.

L’association souhaite ainsi développer des pratiques agroécologiques qui s’adaptent aux ressources disponibles et aux spécificités locales. Elle propose une vision de l’agriculture s’inscrivant dans une approche globale et systémique tant à l’échelle de la parcelle qu’a l’échelle des territoires (bassin de vie, bassin versant, ...).

 

"Promouvoir l’agroécologie, en particulier l’agriculture sur sol vivant, dans un contexte méditerranéen" 

La dynamique est maintenant lancée et le collectif s’enrichit sans cesse d’agriculteurs et de porteurs de projets qui viennent renforcer cette aventure collective. Si les Pyrénées-Orientales sont le territoire initial de SVM, à plus ou moins long  termes, l’Association ambitionne d’étendre son champ d’action sur toute ou partie du pourtour méditerranéen. Forte de sa pluralité et pensée par et pour les agriculteurs, Sol Vivant Méditerranée apporte une réelle plus-value dans le paysage institutionnel et agricole de notre région.

"Des fermes productives, rentables, autonomes et résilientes face aux effets  du changement  climatique. " 

Notre vision de l'agroécologie

  • S’appuyer sur le vivant pour refonder une agriculture fertile et durable, tant à l’échelle de la parcelle que du territoire d’exploitation,
  • Créer un écosystème agricole auto-protecteur et fertile, à même de limiter les recours aux engrais minéraux et d’arrêter l’usage des produits phytosanitaires,
  • Respecter le sol comme entité vivante par le non-travail, les couverts végétaux ou les rotations de cultures.

 

  • Favoriser la biodiversité animale et végétale dans les espaces cultivés, 
  • Renforcer la place de l’arbre et des infrastructures agroécologiques (haies, mares, bandes enherbées...) dans les paysages agricoles.
  • S'adapter à la parcelle et au paysan, il n'y a pas qu'une agriculture. A chaque spécificité, son adaptation, à chaque problématique, sa solution.  

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